René Vial Adhérent Weldom : « Si c’était à refaire, je referais la même chose »

Adhérent Weldom depuis le lancement de l’enseigne en 2002, René Vial est à la tête de deux points de vente. Un à Saint-Clair-de-la-Tour, un autre à Morestel, en Isère. En avril 2017, son premier magasin adoptait le nouveau concept Californie, le deuxième y passe en 2018.

A 65 ans René Vial incarne la force tranquille. Ce mélange savoureux où se mêlent la sérénité des hommes de talents, et l’expérience d’une vie de travail. L’inactivité  n’a toujours pas réussi à s’immiscer dans son planning. Et pour cause, son agenda est toujours plein. Il gère deux magasins, qui emploient respectivement quinze et dix-neuf salariés, et administre une petite commune de 2300 âmes dont il a la charge. « Je ne vois pas pourquoi je m’arrêterais, j’adore ce que je fais. Et puis je ne veux pas laisser mes salariés. Ils travaillent avec moi depuis plus de vingt ans pour certains, et trente ans pour d’autres. Si j’arrête, je veux être sûr qu’ils soient entre de bonnes mains », précise-t-il simplement. Car pour lui, la fidélité compte. Il l’érige en valeur essentielle. Est-ce sans doute pour cela qu’il a rejoint Weldom et les structures qui ont précédé l’enseigne orange et noire. A tout juste vingt-neuf ans, il crée son entreprise de bricolage, qu’il implante à Morestel. Nous sommes en 1982. Si nous retraçons son parcours, il est assez simple de s’apercevoir qu’au gré des aléas et des rachats, il a toujours appartenu aux mêmes structures d’achats qu’il a rejointes en 1989. Les ancêtres de Weldom. « Contrairement aux idées reçues, ce n’est pas parce que j’appartiens aujourd’hui à une enseigne comme Weldom que je ne suis pas maitre chez moi. Je me définis comme un indépendant affilié, précise-t-il. Je suis tout à faire libre de passer des commandes auprès de fournisseurs en dehors de la centrale d’achats. D’ailleurs entre 15 et 20 % d’entre eux le sont. Pour des questions de particularités géographiques. Notamment sur des produits comme le bois. Si cela n’avait pas été comme je le souhaitais je serais parti. Aujourd’hui si c’était à refaire, je referais la même chose. J’aime mon enseigne. Les personnes qui l’animent ont des valeurs. Nous partageons les mêmes. Il y a une culture de la qualité chez Weldom qui me convient très bien. La stratégie est axée sur le service plus que sur le volume d’affaires, et j’adhère complètement à ce principe. Je ne changerais pas pour aller ailleurs ». Aujourd’hui ses deux magasins d’une surface respective de 2 100 mètres carrés pour celui de la Clair-de-la-Tour, et 2 900 mètres carrés pour celui de Morestel, réalisent à eux deux un chiffre d’affaires de huit millions d’euros. Alors, quand l’enseigne a lancé le concept Californie, René Vial du haut de son expérience a su juger et jauger la pertinence de ce dernier, et donc l’adopter en toute objectivité professionnelle.

Le concept Californie, oui pourquoi ?

« J’ai eu envie de passer au concept Californie pour plusieurs raisons, explique René Vial. D’abord pour une raison purement pratique. Le dernier remodeling de mon magasin remontait à 2002. Il était temps d’en changer. Nous devons suivre les évolutions du marché, dans nos boutiques. Le concept Californie apportait aussi toutes les solutions aux attentes des clients. Ce dernier évolue, il faut pouvoir être en mesure de leur apporter la modernité dont ils ont besoin, et qu’ils réclament ». Et en à peine un an, il a pu noter que la fréquentation avait progressé grâce à la signalétique, aux informations pratiques dispensées sur les gondoles, et au cross-marketing, qui permet d’accroitre sensiblement les ventes par des rappels sur le parcours d’achats. Les clients sont ainsi mieux informés sur les produits présentés. « Ce concept offre un confort d’achat pour nos visiteurs, lorsqu’ils circulent dans nos espaces de ventes, ils ont accès directement aux précisions techniques sur les produits, ils peuvent plus facilement s’orienter, et nos vendeurs sont formés pour leur apporter davantage de services », précise le chef d’entreprise. Car avec ce concept, Weldom place le client au cœur de sa préoccupation. Les services deviennent une vraie plus-value, et les incitent à revenir. C’est tout l’intérêt des ateliers organisés sur la place du village Weldom. « Cette année, nous avons souhaité mettre en place un atelier “sapin de Noël”, explique Sylvie, l’épouse de René, et co-gérante des points de vente. Les clients nous ont fait part de leur satisfaction. Mais à terme nous souhaiterions réaliser un atelier par mois ». « Toute la difficulté consiste à animer notre surface de ventes, sans que cela ne devienne un centre d’animation non plus. Il faut trouver un juste équilibre », ajoute René Vial. Mais pour passer au concept Californie, René Vial a dû investir et procéder à des modifications dans son magasin.

Des travaux à réaliser ! Des stocks à changer

« Lorsque nous avons entrepris de changer la configuration de notre magasin, nous avons déjà dû procéder à des travaux pour réaménager la surface de vente », explique-t-il. La partie extérieure du point de vente a donc été agrandie. L’intérieur a quant à lui été remodelé. Au total, six mois de travaux auront été nécessaires. « Weldom a l’habitude de travailler avec certains architectes. Je me suis donc tourné vers l’un d’eux. L’enseigne nous apporte des plans, des configurations et un chef de projet. J’ai vraiment le sentiment, même si je fus le maitre d’œuvre, que nous avons été suivis, et bien encadrés par Weldom, poursuit René Vial, ce remodeling je le dois à mon épouse Sylvie, Thierry le Chef de magasin depuis 1994 et son équipe qui a fait un travail remarquable ».
Pour ce qui est du mobilier, là encore les choses ont été amenées à changer. « Nous avons réutilisé une partie du mobilier originel, en revanche nous avons été obligés de nous séparer des racks. Il fallait que nous nous adaptions aux plans de ventes, et aux codes signalétiques », précise le chef d’entreprise. Le remodeling d’un magasin peut aller de 200 000 à 600 000 euros d’investissement en fonction de la surface de ventes à restructurer. Certains magasins doivent en plus réaliser un gros travail d’inventaire et de refonte totale de leurs stocks. « Il peut en effet arriver que des produits ne correspondent plus du tout à l’attente du marché. Fort heureusement, la valeur de notre stock était équivalente à celle du concept Californie, et nous avons dû adapter que seulement 15 % de notre stock. Il peut arriver que cela soit plus pour certains confrères, et dans ce cas le coût d’installation augmente ». Lorsque des produits ne correspondent pas au concept Californie, les adhérents sont invités à faire des opérations promotionnelles pour les écouler. « Nous gérons sur nos points de vente près de 25 000 références de produits. Il est tout à fait concevable que certains d’entre eux, passé un certain laps de temps, ne soient plus en conformité avec les aspirations des clients. Me concernant j’ai fait le choix de déposer les produits obsolètes chez Emmaüs ».
Fort du succès rencontré dans son premier point de vente avec le concept Californie, René Vial a déjà prévu de le développer dans son second point de vente. Dans le secteur de Saint-Clair-de-la-Tour, la concurrence s’avère très forte. Trois autres grandes enseignes sont implantées. « Le concept Californie est un atout majeur face à mes confrères », confie-t-il. En revanche, aux abords du magasin historique de Morestel, René Vial bénéficie d’un certain avantage économique. Seule une grande enseigne est installée à proximité. La raison ? La zone est rurbaine, et la population composée de trente mille habitants n’est pas suffisante pour s’y implanter. Et avec cette nouvelle approche, Weldom marque une nouvelle fois sa différence par rapport à la concurrence, en plaçant le client au cœur de sa stratégie.•http://www.bricomag-media.com/distributeurs-197/distributeurs-bricolage/2532-rene-vial-adherent-weldom-si-c-etait-a-refaire-je-referais-la-meme-chose

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